Je regarde le titre du sondage et en règle générale, je marque le mail comme lu sans aller répondre. Mais de temps en temps, quand le sujet m'intéresse assez, je vais participer. Aujourd'hui c'est le cas. L'enquête à laquelle je suis convié aujourd'hui a pour sujet : Donnez votre avis sur l’adoption en France et les propositions de réforme !

Forcement, ça m'intéresse. Qui plus est, ça me concerne. Alors j'y vais. Je regarde les questions et je réponds selon ce que je pense. Parfois les réponses sont simples et rapides. Mais de temps en temps, je n'ai pas de réponse à donner. Je dois réfléchir à ce qui est le mieux selon moi. Parfois, j'ai beau réfléchir, je ne vois pas de solution. Aujourd'hui, la question qui me bloque est la suivante : "A votre avis, faut-il informer les enfants adoptés de l'identité de leurs parents biologiques s'il est possible de la connaître ?" Je bloque sur les parents biologiques... Pourtant, je dis toujours qu'il faut informer les gens et que le savoir doit être partagé, mais là, je ne suis plus si sûr.

Le second problème que je rencontre dans ce questionnaire vient des infos à mon propos. A chaque questionnaire, les dernières questions demandent habituellement l'age, la position politique (sur une échelle de 1 à 10) et la région où l'on habite. Cette fois-ci, ils ont rajouté d'autres questions en rapport : le sexe, le nombres d'enfants et la préférence sexuelle. J'ai hésité à répondre à cette dernière demande. Je suis déjà parano et l'affaire d'Ardoise m'inquiète encore plus. Et puis surtout je crains que mes réponses n'aient pas le même poids en fonction de mes préférences sexuelles.

Mais surtout, si je vous parle de ce questionnaire ici, c'est pour vous inviter à y participer. J'aime à croire que les résultats sont transmis aux décideurs comme le proclament le slogan et et la page d'info de l'organisme. Et donc, comme ce sujet m'importe, ca me ferait vraiment plaisir que vous preniez le temps d'y répondre. Vous pouvez cliquer sur le lien suivant pour accéder à l'enquete sur l’adoption en France et les propositions de réforme. Bien sur, je ne vous demande que de repondre ce que vous pensais. Je ne veux pas que vous répondiez pour me faire plaisir. Mais allez-y, svp.