Je commence à saturer de Besançon. Le climat est pourri, la ville n'est pas vraiment vivante, le marche de l'emploi informatique quasiment inexistant. Mon C&T et moi-même cherchons donc du travail dans la region toulousaine. D'ailleurs, il a un entretien lundi dans une boite de transport de passagers à Plaisance-du-Touch. Donc ce week-end, re-train... S'il est pris, il demissionne et nous demenageons.
Concernant le train, là aussi, je commence à saturer. J'ai reussi à eviter le besançon-Paris le week-end du 5 Mars grace à la neige. Mais le voyage à Angers le week-end dernier a depassé les bornes des limites. L'aller etait encore raisonnable, mais le retour etait quasiment absurde. Passer par Massy et Lyon pour aller d'Angers à Besançon, je trouve pas ca d'une efficacité redoutable.
En fait, il me tarde de revenir à Toulouse aussi pour ça : pour le plaisir de marcher dans la rue, pour le plaisir de me deplacer à pied dans les petites rues du centre. Fini les 70 et les 39 qui ne savent pas conduire. Au moins à Toulouse, ils sont tous aussi barjots que moi.
Bref, ca s'arrange pour moi, doucement mais surement. Certains font la gueule, d'autres s'inquietent, d'autres encore sont contents.
Eventuellement, vous pouvez avoir envie de savoir que je manque de sous en ce moment. Mais bon, c'est ma faute pleine et entiere. J'ai qu'à pas tant depenser. Entre les nouvelles chaussures, le nouvel appareil photo, la reparation de ma montre gousset et les billets de train, mes reserves fondent comme neige au soleil (au soleil de toulouse surtout, passke le soleil ici, il serait pas capable de faire fondre du chocolat posé sur une plaque noire.)

Demain, c'est promis, une note intelligente. Et, si j'arrive un jour à la finir, une histoire du Valan Universe.