En fait, j'ai compris aujourd'hui d'où vient une bonne partie de ma démotivation. Quand je pars de chez moi, je sors de mon bureau et je passe devant la chambre.

Et là, je vois le chat, affalé soit sur le lit, soit sur la commode. Je le regarde, il me regarde, je m'approche pour le caresser, le chatouiller un peu, éviter les coup de pa-pattes s'il est d'humeur joueuse, me dire qu'il est tout doux et tout chaud.

Tout ça entraine une réflexion et une interrogation : "Je serais tellement mieux couché sur le lit à caresser le chat qui ronronne jusqu'à pas d'heure. Pourquoi je vais me faire chier à ce boulot de merde?"

Les chats sont les ennemis de la productivité. Et surtout les chats sont des machines à démotivation. Un seul regard, une seule papouille et vous êtes foutu.